Doliprane pour femme enceinte : posologie, dosage et risque

Doliprane pour femme enceinte : posologie, dosage et risque

Médicament d’exception, le Doliprane est connu pour ses vertus curatives sur le corps humain. Cependant, il ne serait pas approprié pour tous, notamment les femmes enceintes. Découvrez ici la posologie, le dosage ainsi que les risques de ce médicament pour la femme enceinte.

À propos du Doliprane

Le Doliprane est un médicament aux propriétés antalgiques et antipyrétiques. Avec des actifs comme le paracétamol surtout, ce médicament sert à faire baisser la température et est utilisé pour traiter les affections douloureuses. Sous sa forme orale prévue avec un dosage de 1000 mg, ce médicament se révèle d’une grande efficacité contre les cas d’arthrose.

Pourquoi prendre du Doliprane ?

Prenez du Doliprane pour traiter :

  • Les douleurs ;
  • La fièvre ;
  • Les allergies ;
  • Les symptômes du rhume ;
  • La grippe, etc.

Y a-t-il une différence entre le Doliprane et le paracétamol ?

La différence entre le Doliprane et le Paracétamol est évidente en ce sens que le Doliprane est constitué de paracétamol. C’est d’ailleurs le seul actif inclus dans la composition de ce médicament. Le paracétamol demeure le médicament référentiel dans les cas de douleurs et de fièvre. Notons qu’il est fortement déconseillé d’entamer une cure de paracétamol simultanée à celle du Doliprane. On ne saurait suivre un tel dosage de paracétamol sous peine de conséquences sanitaires.

Le Doliprane est-il déconseillé aux femmes enceintes ?

Le Doliprane est-il déconseillé aux femmes enceintes ?

Vous êtes enceinte et ressentez des douleurs à la tête ou encore la fièvre ? Le Doliprane, semble-t-il, n’est pas la solution appropriée à vos maux. Quand bien même, l’usage de ce médicament est validé par les professionnels de la santé, notons qu’il n’est pas sans conséquences sur la santé des femmes enceintes. La consommation du paracétamol pendant la grossesse peut conduire à des complications très inquiétantes.

Plusieurs recherches expérimentales et épidémiologiques ont montré la prépondérance du Doliprane dans le danger de la grossesse. En effet, une exposition prénatale au paracétamol est risquée en ce sens que le développement du fœtus peut être altéré. Si le fœtus peut être affecté par la consommation de Doliprane, notons que la femme enceinte n’est elle-même pas à l’abri du danger. En effet, il existe de grandes chances pour qu’elle contracte une pré-éclampsie. À titre de rappel, la pré-éclampsie est une anomalie qui affecte le développement du placenta. Due à une mauvaise vascularisation, ce syndrome est lourd de conséquences pour la mère et le fœtus. En France, ce sont environ 20 décès causés par cette anomalie qui sont recensés chaque année.

La prise de Doliprane pour une femme enceinte s’avère risquée pour l’enfant en ce sens qu’il développe des effets secondaires comme :

  • L’asthme ;
  • Une faiblesse du Quotient Intellectuel de l’enfant ;
  • L’autisme ;
  • Des troubles de l’attention et des fonctions exécutives ;
  • Des troubles du comportement.

Posologie et dosage de la chiropraxie

Avant de prendre une dose de paracétamol, les femmes doivent désormais demander conseil à leur médecin. La chiropraxie est essentiellement indiquée par les docteurs. Elle atténue considérablement les effets de la douleur. Grâce à la chiropraxie, plusieurs femmes ont vu leur accouchement être facilité. La chiropraxie favorise le fonctionnement articulaire du bassin. Par ailleurs, notons qu’elle améliore le bien-être des nouveaux nés grâce à la prévention des lésions articulaires. Lesdites lésions sont liées aux complications pouvant survenir lors de l’accouchement. En somme, la chiropraxie s’avère l’indication médicale la plus appropriée pour se passer des dangers des Dolipranes.

Indépendamment de son efficacité, le Doliprane ne semble pas être la meilleure alternative pour le traitement des douleurs et de la fièvre de la femme enceinte. Des enquêtes nationales américaines qui portent sur la santé ont indiqué, qu’entre 2009 et 2017, environ un enfant sur six âgés de 3 à 17 ans avait reçu un diagnostic de déficiences développementales entre 2009-2011 et 2015-2017. Au regard de ces faits, il importe qu’une femme enceinte s’oriente vers son médecin-traitant pour recevoir une posologie et un dosage d’un traitement approprié.

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